Friday, November 03, 2017

Bouddhisme

Bouddhisme

« Tout est bien comme il semble, rien comme il semble. À la fois comme il semble et non comme il semble. Ni l'un ni l'autre. Tel est l'enseignement progressif (anuśāsana) des Buhha (18,8) [11]. »

En effet, pour Nagarjuna, non seulement le dilemme (lié au principe du tiers exclu) n'est pas adéquat pour décrire la vérité, mais c'est aussi le cas du tétralemme. Jean-Marc Vivenza déclare que, pour Nagarjuna, « toute proposition du tétralemme est également fausse »[12]

« Aristote affirme qu'une fois nié le principe de contradiction, « il en résulte qu'on ne sera forcé ni à l'affirmation ni à la négation [...] Il est clair que la discussion avec un tel adversaire est sans objet. Car il ne dit rien. [...] Un tel homme, en tant que tel, est pareil à une plante»[13]. »

Ce type de proposition existe en logique orientale, plus précisément indienne, sous le nom de catuṣkoṭi en sanskrit. Elle est typique de la logique bouddhique madhyamaka : Nagarjuna en fait un grand usage, mais on le retrouve également dans des textes bouddhiques plus anciens (par exemple le Brahmājālasūtta). La métaphysique orientale utilise très souvent cette figure logique, par exemple :
L'absolu n'est ni existant ni non-existant, ni à la fois existant et non-existant, ni différent à la fois de l'existence et de la non-existence. (Sarvepalli Radhakrishnan, Indian Philosophy, 1923)
De même, Nagarjuna affirme que dans le nirvāna il n'y a ni existence, ni inexistence, ni les deux, ni aucune des deux (Nagarjuna, Traité du Milieu, chap. 25 paragraphe 17). C'est en fait une façon d'expliquer qu'une telle chose ne peut en aucune façon entrer dans les catégories habituelles du mental, dans les concepts ontologiques courants d'Etre et de Néant.

Eliade: "Si potrebbe tentare di salvare, nella prospettiva del cristia-
nesimo, le ierofanie che precedettero il miracolo dell'Incarnazione, valorizzandole in
quanto serie di prefigurazioni dell'Incarnazione stessa. E conseguirebbe che - lungi dal considerare le modalità pagane del sacro (feticci, idoli, ecc.) come tappe aberranti e degenerate del sentimento religioso di un'umanità decaduta in conseguenza del peccato – si potrebbero interpretare come tentativi di prefigurare il mistero dell'Incarnazione. Tutta la vita religiosa dell'umanità – vita religiosa espressa con la dialettica delle ierofanie – sarebbe, da questo punto di vista, null'altro che l'attesa di Cristo", Trattato di storia delle religioni, Boringhieri, Torino 1988, p. 36, nota 1.
«La gloria di colui che tutto move / per l'universo penetra e risplende / in una parte più e meno altrove»27...Dante Alighieri, Paradiso, I, 1-3.


Si può intravvedere nel pensiero di San Tommaso una differenza tra il
sacrum che si riferisce alle cose, e il sanctum che parla delle persone,
incluso lo Spirito Santo?

Il sacro che si riferisce a "qualcuno" (il santo) che trascende il mondo dell'uomo, si può considerare solo con l'aiuto della grazia di Dio e cioè con la fede cristiana.


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